Pierre Darmon, pour le fun




Pierre Darmon

Ton dernier album, c’est « Flowers of the male », avec le recul, quel regard portes-tu dessus ?

Une galette printanière qui ne ressemble à aucune autre avec… les qualités de ses défauts.

Est-ce que le choix de le sortir en vinyle était judicieux ?

C’est générationnel  mon général ! Quelque chose gravé dans la masse. Sans « potentiel commercial ».

C’est un album qui date de 2016, as-tu un autre projet dans les cartons ?

Un disque, c’est une unité. En ce moment, je préfère papillonner dans les genres musicaux. Je produis plein de morceaux… selon l’inspiration.


Est-ce que d’après toi un artiste indépendant peut se faire une place dans le monde de la musique entre les plateformes de streaming et les réseaux sociaux ?

Sans doute, mais je suis un vieux chat solitaire et je me sens étranger à tout ça.

Si je devais ne faire écouter que deux de tes titres sur cette page, lesquels choisirais-tu et pourquoi ? 

Deux trucs : un instrumental (space Hotel) et une chanson estivale (Coconut Choose). Pourquoi ? Mais pour le Fun ! 



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