Ton dernier album, c’est « Flowers of the male », avec le recul, quel regard portes-tu dessus ?
Une galette printanière qui ne ressemble à aucune autre avec… les qualités de ses défauts.
Est-ce que le choix de le sortir en vinyle était judicieux ?
C’est générationnel mon général ! Quelque chose gravé dans la masse. Sans « potentiel commercial ».
C’est un album qui date de 2016, as-tu un autre projet dans les cartons ?
Un disque, c’est une unité. En ce moment, je préfère papillonner dans les genres musicaux. Je produis plein de morceaux… selon l’inspiration.
Est-ce que d’après toi un artiste indépendant peut se faire une place dans le monde de la musique entre les plateformes de streaming et les réseaux sociaux ?
Sans doute, mais je suis un vieux chat solitaire et je me sens étranger à tout ça.
Si je devais ne faire écouter que deux de tes titres sur cette page, lesquels choisirais-tu et pourquoi ?
Deux trucs : un instrumental (space Hotel) et une chanson estivale (Coconut Choose). Pourquoi ? Mais pour le Fun !
Sans doute, mais je suis un vieux chat solitaire et je me sens étranger à tout ça.
Si je devais ne faire écouter que deux de tes titres sur cette page, lesquels choisirais-tu et pourquoi ?
Deux trucs : un instrumental (space Hotel) et une chanson estivale (Coconut Choose). Pourquoi ? Mais pour le Fun !